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Blades of Forgiveness

by Scythe

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Isolation 17:01
4.

about

Scythe is doom, Scythe is fate.
Scythe is the unavoidable gnarl that tighten up your neck until brokes.
Endless razors that cut you into nothing.
The hands that throttle you until asphyxia.
The hands that enjoy your death rattle with quasi-sexual sadism.
Light will burn us all.

Exclusive release for BESTIARIE: www.bestiarie.com

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Spanish review by MusicSweptAwayTheColours (http://musicsweptawaythecolours.wordpress.com):

«Solos pero rodeados. Locos pero vacíos. Negruzcos pero doom. Experimentales, pero de verdad. Así de desconcertante son Scythe, proyecto que ya va por la su tercera cinta; la anterior, con Neurastenia, y que un servidor cazó al vuelo. Pero cómo categorizar esto?! (ya no digo puntuar), que se mueve a golpe de agonía y nos atraviesa como a un muñeco de trapo.

“Blades of forgiveness” te obliga a vaciar la cabeza para llenarla con otros males. Algo así como emborracharse de vino barato mientras lees versos sobre necrofilia. Cuerdas enmarañado un ambiente impracticable de ruido claustrofóbico. No tan denso y saturado como podría parecer (en esto he tenido peores viajes). Un teñir de melodías (a room empty but full) a través de habitaciones cubiertas por paneles absorbe-ruidos que se tragan las sombras y ya de paso, amortiguan los graves. Melodías a tremolo (seguimos en “a room empty…”) que aumentan la curva ascendiente de su griterio, mientras vemos como todo se descompone a nuestro alrededor.

La parte troncal de “Blades of forgiveness” son dos megalitos a la desolación de más de 15 minutos cada uno, que pondrán a prueba nuestros delicado sistema nervioso mientras nos chillan, bien pegados a la oreja, la palabra S U I C I D I O. Eso es, una dosis letal de soledad y aislamiento que solo puede aguantar el acróbata con habitual afición por el bebercio. Notas que campan a sus anchas (isolation) mientras se arrastran hierros, chirridos y otros pensamientos destartalados arrojados al vacío.

La luz quema y la textura abrasiva de las cuerdas contra el altavoz también. El sonido del líquido pesado que se derrama y salpica la tela con su ruido macabro que parece evaporarse de manera instantánea. Las transiciones son muy potentes, sí. Pasamos por almenos tres fases (de intensidad variable) sin apenas darnos cuenta, con un desenlace que no voy a tratar de explicar, ni creo que pudiese.

Estamos ante un caso de quadro o quintofénia, por lo menos; así podemos escuchar una sarta de voces interiores a la vez. Voces cabalgando sobre ritmos fantasmales, maldiciendo sus entrañas.

Venimos de todo un final (isolation), y quizás este sea el collage mejor cortado y pegado de toda la cinta. Justamente porque todo tiene su propia entidad, todo tiene derecho a ser un “yo” y, aun así, tolera la convivencia. Una armonía rebelde que no tiene absolutamente nada de natural y si mucho de etéreo.

Un packaging revelador (un ataúd de rojo sangre y huesos) para una cinta de igual idiosincracia.

Como suelo decir en estos casos, esto no es para todo el mundo: almas emanadas, tierra-negras y negativas only.»

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French review by MITHRA! Templezine
(mithratemplezine.tumblr.com)

«Peu d'informations sont disponibles sur ce projet qui demeure, donc, jusqu'à présent paré d'une aura mystérieuse ! Mentionnons le visuel accrocheur de la cassette comme porte d'entrée dans un univers torturé et malsain, et qui place cet album en filiation avec le type de la persécutée mis en avant par Mario Praz dans La Chair, la mort et le diable dans la littérature du XIXème siècle. Le Romantisme noir – on notera que la qualité de la présentation des sorties de ce label est une constante au point d'en faire des objets intéressants pour les collectionneurs de belles pièces.
Quatre pistes constituent Blades Of Forgiveness, dont deux font plus de 16 minutes ; les deux autres dépassant quant à elles les 6 minutes. Impossible de ne pas penser à Abruptum à l'écoute des ces compostions intransigeantes de black noise, mais la particularité du son de Scythe est d'avoir un impact que l'on pourrait qualifier de plus psychologique dans son effet de nuisance, car passé le stade premier d'une agression manifeste, où il est bien difficile malgré la présence de guitares de discerner autre chose qu'une masse labyrinthique de sons qui résonnent comme autant de punitions impitoyables – cela est spécifiquement palpable sur la première piste Streams of a Fading Whore.
Il apparaît rapidement dans un second temps que Scythe sait aussi installer des atmosphères en prenant le soin de faire émerger l'enfer dans notre conscience en ne passant pas directement par la saturation de tout le spectre sonore, mais plutôt par le fait de favoriser une sorte d’envoûtement sadique comme si Scythe voulait nous convertir – de force - à la jouissance des cendres (A room empty but full).
D'autre part, la nature de Scythe est plus industrielle que celle d’Abruptum. On pensera au passage où un piano minimaliste se mêle à des sifflements typiques de la scène noise/power electronics sur Isolation – ce morceau est d’ailleurs dans sa première partie constituée par des field recordings. Mis à part ces quelques passages moins remplis par une abondances de sons, et nécessaire à la respiration de ces compostions, la teinte dominante est celle qui est imposée par une lourdeur chaotique et désespérée, mais cette dernière n'est pas le fruit d'un travail bâclé, il faudrait plutôt y voir la réussite d'une construction plus fine et plus “intellectualisée” que ne le laisse paraître la sensation d’ensevelissement qui est transmisse lors d’une écoute superficielle.
Blades Of Forgiveness est clairement un album mal intentionné, à ne pas mettre entre toutes les oreilles, qui applique littéralement la fulmination édictée par Pinhead dans Hellraiser, « We’ll Tear Your Soul Apart! » : le plaisir ressenti à son écoute pourrait être apparenté à une sorte de Schadenfreude, ce qui est fait un album recommandable aux amateurs, du déjà nommé Abruptum, de Zoloft Evra, de Satanismo Calibro 9 ou encore à ceux de Sektarism ! »

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Brief review by Vertranótt at Bestiarie's bandcamp (bestiarie.bandcamp.com/album/blades-of-forgiveness):

You got to be prepared for this malicious blend of industrial, noise and black metal. It could have been a tried and tested formula (and it is), but then there's this entity Scythe, whom with extreme finesse bring a kind of ominous bleakness that transcends the listener's capability to grasp everything at once. This is another irrefutable proof that good underground belongs to a different geography now. South of heaven straight into hell. Favorite track: Streams Of A Fading Whore.

credits

released January 1, 1902

All music by Scythe.

Layout & design by Miguel Sueiro.

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